Ancres

« Les câbles sont des éléments structurels fonctionnant à traction, dans la mesure de transmettre des forces au terrain grâce à une armature constituée de barres et de torons en acier rendus solides au terrain par un bulbe d’ancrage.
Ils sont utilisés pour stabiliser les parois rocheuses, pour ancrer au terrain des cloisons ou des murs de soutien.
La fonction des câbles d’ancrage est donc celle de transférer les contraintes nécessaires au travail statique dans les zones où le terrain offre la possibilité d’absorber les contraintes en jeu.
L’ancrage au sol est effectué par des mélanges cimentaires qui peuvent être injectés avec des systèmes qui se diversifient en fonction du type de terrain.
La O.S.G. est dans la mesure de réaliser à la fois des tirants actifs que passifs grâce à son importante expérience. »

Deep mixing

Le Soil Mixing est une méthode de consolidation qui permet d’insérer dans le sol un outil rotatif sur lequel sont reliées des hélices qui assurent la fragmentation du terrain et le mélange du même avec le liant inséré par des buses spéciales. Ainsi il est formé un élément (colonne, cloison, etc…) de matériel qui présente des caractéristiques de résistance, de déformabilité et de perméabilité meilleure du terrain environnant. Les liants principalement utilisés sont le ciment ou la chaux.

Diaphragmes en plastique

Les diaphragmes en plastique traditionnels permettent à la réalisation d’une excavation verticale par l’intermédiaire d’une benne preneuse suivi par le remplissage avec un mélange d’eau – ciment – bentonite. Dans le cas de travaux de régénération où il est absolument nécessaire d’empêcher la dispersion dans le sol environnant ou dans les eaux souterraines des éléments particulièrement dangereux pour l’environnement et pour la santé, il est assuré l’imperméabilité de la barrière avec l’insertion dans le mélange à peine coulé sur place de panneaux en HDPE.

Diaphragmes en plastique avec technologie CSM

La technologie CSM (Cutter Soil Mixing) permet à la réalisation d’une barrière en plastique imperméable constituée d’une série de panneaux compénétrés obtenus par le mélange du sol in situ avec un mélange d’eau, ciment et bentonite (méthode CSM). Tel travail relève normalement de l’assainissement qui permet à la réalisation d’une barrière souterraine finalisée pour l’interruption de la migration des polluants transportés par elle. Particulièrement utilisée aussi comme le travail de pré-consolidation des excavations.

Injections chimiques, polyuréthanes et cimentaires

Utilisées pour améliorer les caractéristiques mécaniques du terrain, ainsi que pour réduire drastiquement la perméabilité. Injectées à pressions et volumes contrôlés en fonction des volumes des vides effectivement disponibles et injectables, et par la granulométrie et la perméabilité des différentes couches intéressées au traitement.

Cimentation par injection

Des consolidations de colonnes obtenues par fragmentation de terrain en le mélangeant en même temps avec une suspension cimentaire à travers des injecteurs de différent diamètre et avec des pressions jusqu’à 600 bars. Il existe trois différentes méthodologies qui se différencient substantiellement par le nombre de fluides adoptés : Éjection monofluide : le même mélange (mortier) est utilisé que ce soit pour l’action de désagrégation que pour l’action stabilisante d’Éjection bifluide : l’action de désagrégation du mortier est accompagnée par un jet d’air comprimé afin de favoriser « l’infiltration » du fluide dans le terrain. Éjection trifluide : elle prévoit un fluide pour l’action de désagrégation et un fluide pour l’action stabilisante. L’action de désagrégation est obtenue à haute vitesse d’eau avec ou sans air comprimé. L’action stabilisante est assurée par le jet en pression de mortier.

Cloisons et tampons de base dans la cimentation par injection

Des colonnes de terrain consolidées utilisées pour un ceinturage périmétrique des excavations (éventuellement avec des tubes en acier) et pour la création d’un tampon imperméable susceptible de contraster la propulsion hydraulique, permettant les excavations et la successive réalisation de dalle de fond en béton armé en l’absence d’eau. Le mélange utilisé peut être constitué par coulis (eau et ciment), ou par un mélange en plastique ternaire (eau – ciment – bentonite) selon un mélange de composants finalisé pour le degré de perméabilité à rejoindre.

Drainages sous-horizontaux

Les drainages sous-horizontaux sont des éléments drainants à section circulaire de petit diamètre insérés dans le corps, dans un glissement de terrain en pente ou en face d’une excavation, pendant son exécution, dans le but d’éliminer l’eau en excès. Ils sont constitués de tuyaux percés (éventuellement revêtus d’une protection en TNT) qui sont mis en place sur des trous effectués avec des tarières hélicoïdales et avec des équipements à rotation dotés d’outils d’excavation appropriés.

Forages

Le terme forage désigne toutes les technologies réalisées pour le soutènement des terrains avant les excavations. La géométrie est généralement tronconique, de façon à permettre la partielle superposition avec la série précédente. Les perforations horizontales ou sous-horizontales sont réalisées par un «positionneur » et successivement avec des tuyaux métalliques ou en VTR cimentés au terrain environnant.

Cimentation par injection sous-horizontale

Des colonnes de sol consolidé sous-horizontales visant à consolider l’avancement du front ou le contour des galeries naturelles à réaliser, pour permettre l’excavation successive traditionnelle. Pour éviter des surpressions qui provoqueraient un soulèvement de terrains et d’artefacts, il est possible d’utiliser un tube de revêtement en acier qui est laissé en place comme armature définitive au terme du traitement. De cette façon, il est possible de contrôler efficacement le matériel de purge qui s’écoule entre l’espace annulaire situé entre les tiges de forage et le revêtement.